Je me nomme Liam Carter Owen . J'ai 17 ans. Et je suis originaire de Seattle . J'ai grandi dans les bas fond de la ville. Je ne parle jamais ou très rarement de mon passé. J'ai quitté les USA il y a deux ans pour aller suivre des études de musique à Londres . Je joue de la guitare, du piano et du violon . Je compose également mes propres chansons avec l'aide de ma Petite amie : Lilith Morgan . Nous sommes venus ensemble en Finlande . Vous êtes prévenez les gars , elle est à moi !

« Il n'y a rien que je ne saurais lui interdire, ou que je ne pourrais faire pour elle. Je suis tombé sous son charme dés que je l'ai vu, pour la première fois, dans un studio de musique dans notre école de Londres. J'étais de ces gamins capricieux et pervers. J'étais connu comme un véritable Dom Juan, et je ne cacherais pas qu'il me fut difficile de lui être fidèle. Même si elle ne le sut jamais. Encore aujourd'hui j'ai du mal à ne pas me retourner sur une autre jolie fille. Mais je l'aime, et de cela j'en suis persuadé. Il n'y a qu'elle qui compte. »

« Rencontrée dans les méandres de ces couloirs qui n'en finissent pas, nous nous sommes aidés pour trouver la salle de musique, afin d'y partager un cours. J'ai découvert en elle, une musicienne douée, et qui aime son art. J'aime beaucoup passer du temps à jouer avec elle, dans le calme du pays des mystères. Je pense que j'apprécie énormément sa présence, malgré nos caractères très différents, pour ne pas dire, contraires. »

« Blablabla »

« Blablabla »

« Rencontrés à l'occasion d'une devoir de chant, nous nous sommes vite rendus compte que nous étions tout simplement incapable d'être sérieux deux minutes lorsque nous étions ensemble. Composer, avec elle, c'est un véritable jeu, un carnage musicale ,qui n'aboutit à rien qui ne puisse être montré devant un prof. C'est probablement pour cela, que d'un commun accord, nous avons décidé de chanter une chanson connue ! »

« C'est le genre de fille que je côtoyais lors de mon adolescence dans les rues de Seattle. Je ne peux m'empêcher de l'envoyer chier, d'être désagréable et moqueur, et elle me le renvoie bien. Mais sous cette façade cruelle, il se cache un véritable respect. Nous nous comprenons, ayant vécu les mêmes tripes de drogués, et j'avoue que souvent, alors que je la vois totalement shootée, je me souviens de l'état de bien être dans lequel je me trouvais, moi-même, lorsque je me trouvais sous les méfaits de la cocaïne. »